Nous savons que la Guinée équatoriale est intimement attachée aux valeurs de la coopération Sud-Sud, un concept grâce auquel l’immense potentiel des pays émergents peut- être maximisé, en établissant notamment des liens de collaboration entre les pays du Sud. Mais un autre constante de la plus grande importance est celle de la coopération triangulaire, à travers lequel des pays dotés d’une formation technique plus poussée et d’un capital humain spécialisé transfèrent des connaissances et un savoir-faire à d’autres pays qui n’ont pas eu le même accès à ces ressources de formation technique. Pour cette raison, la Guinée équatoriale est le siège de la coopération Sud-Sud et triangulaire, car la coopération entre les pays du Sud en est la clé de voûte et permettra à terme d’adopter et de mettre en œuvre techniquement les meilleures expériences des pays les plus développés.
Ainsi, l’ambassadeur de Guinée équatoriale à Bruxelles, Carmelo Nvono-Ncá, a rencontré son homologue angolais dans la capitale, Georges Rebelo Pinto Chikoti, avec lequel il a pu planifier certaines stratégies de coopération Sud-Sud et triangulaire depuis quelques semaines en veillant à impliquer des entreprises européennes à vocation internationale. L’une des initiatives viserait à ouvrir la voie à une société européenne pour commercialiser en Afrique une machine révolutionnaire transformant l’eau trouvée dans l’environnement en eau potable.
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